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A la UNE : Jihadisme, une Guerre sans fin

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LA REVUE - NUMERO 85 Actuellement en kiosques A la UNE  : Jihadisme , une guerre sans fin Au travers d'une vaste enquête, Dominique Mataillet nous dresse le portrait de l'« hydre » jihadiste qui se régénère en permanence. Dix-huit ans après le 11-Septembre 2001, le nombre des combattants islamistes est quatre fois plus élevé aujourd’hui qu’en 2001. Chaque semaine, ou presque, le terrorisme islamiste frappe sur de nouveaux territoires, alors même qu’il a perdu ses derniers bastions dans sa terre d’élection que fut pendant plus d’une décennie l’aire syro-irakienne. Il prend des formes et touche des régions d’autant plus inattendues que, du point de vue historique, il s’est construit contre des forces étrangères en terre d’islam. A son apogée, en 2014-2015, Daesh contrôle un territoire de près de 100 000 km2. Ce document nous permet également de décrypter les ressorts de l’islamisme , la religion n’étant qu’un alibi pour des groupuscules qui peuvent aussi se greffer, par ailleurs, sur des conflits locaux. A lire également : Un décryptage : « Le pouvoir des Think Tank ». Radhi Meddeb nous plonge dans le foisonnant univers de ces organismes d'influences. Mais que se cache-t-il derrière ce barbarisme de think tank ?Laboratoires d’idées ou lobbies ? Dégagés des contingences du court terme, les think tanks prennent le temps de la réflexion et de la prospective. Ils identifient des voies alternatives, testent des idées novatrices et en font la pédagogie auprès des acteurs politiques. De multiples structures s’abritent derrière un tel label, tout en étant pourvues par des groupes financiers puissants. Une question : « Iran, Négocier ou non » A Téhéran le débat fait rage. Aucune discussion possible pour le commandant des Gardiens de la Révolution. C'est sans compter sans l'étrange assouplissement de Mahmoud Ahmadinejad. Explications stratégiques du Général Etienne Copel. Un retour aux sources  : » Les racines du Brexit » Selon Frédéric Ferney, depuis longtemps, les Anglais sont plus forts quand ils se battent seuls. Contre Napoléon, Hitler ou Gandhi. Contre l’Europe aujourd’hui ? Petite contribution à l’histoire singulière de la Grande-Bretagne et à la geste indécise du Premier ministre de Sa Majesté, Boris Johnson. Un constat : « Le crépuscule de l’Italie ». Où est passée l’Italie triomphante des années 1950/1960 ? L’Italie dont la croissance surpassait celle du reste de l’Union européenne ? Celle dont les entreprises privées, comme Fiat, ou publiques, comme ENI, excellaient dans l’automobile, l’aviation, l’énergie ou l’optique ? Alain Faujas tente de dégager une « logique » à ce déclin. Une politique culturelle : « «Maroc, Le Musée en son royaume » Dès le XIVème siècle, le grand historien Ibn Khaldoun prophétisait déjà le poids de la culture dans le « soft power ». Aujourd’hui, la politique de réhabilitation des musées au Maroc s’inscrit dans cette philosophie et cette stratégie initiée par le roi : rendre les musées attrayants et créer une nouvelle dynamique pour le développement. Après avoir donné un nouvel élan aux fêtes populaires, aux Festivals le Roi Mohamed VI a souhaité faire de la culture un levier de développement économique et d’influence.
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A la UNE  : Jihadisme , une guerre sans fin

Au travers d’une vaste enquête, Dominique Mataillet nous dresse le portrait de l’« hydre » jihadiste qui se régénère en permanence. Dix-huit ans après le 11-Septembre 2001, le nombre des combattants islamistes est quatre fois plus élevé aujourd’hui qu’en 2001. Chaque semaine, ou presque, le terrorisme islamiste frappe sur de nouveaux territoires, alors même qu’il a perdu ses derniers bastions dans sa terre d’élection que fut pendant plus d’une décennie l’aire syro-irakienne. Il prend des formes et touche des régions d’autant plus inattendues que, du point de vue historique, il s’est construit contre des forces étrangères en terre d’islam. A son apogée, en 2014-2015, Daesh contrôle un territoire de près de 100 000 km2. Ce document nous permet également de décrypter les ressorts de l’islamisme , la religion n’étant qu’un alibi pour des groupuscules qui peuvent aussi se greffer, par ailleurs, sur des conflits locaux. A lire également : Un décryptage : « Le pouvoir des Think Tank ». Radhi Meddeb nous plonge dans le foisonnant univers de ces organismes d’influences. Mais que se cache-t-il derrière ce barbarisme de think tank ?Laboratoires d’idées ou lobbies ? Dégagés des contingences du court terme, les think tanks prennent le temps de la réflexion et de la prospective. Ils identifient des voies alternatives, testent des idées novatrices et en font la pédagogie auprès des acteurs politiques. De multiples structures s’abritent derrière un tel label, tout en étant pourvues par des groupes financiers puissants. Une question : « Iran, Négocier ou non » A Téhéran le débat fait rage. Aucune discussion possible pour le commandant des Gardiens de la Révolution. C’est sans compter sans l’étrange assouplissement de Mahmoud Ahmadinejad. Explications stratégiques du Général Etienne Copel. Un retour aux sources  : » Les racines du Brexit » Selon Frédéric Ferney, depuis longtemps, les Anglais sont plus forts quand ils se battent seuls. Contre Napoléon, Hitler ou Gandhi. Contre l’Europe aujourd’hui ? Petite contribution à l’histoire singulière de la Grande-Bretagne et à la geste indécise du Premier ministre de Sa Majesté, Boris Johnson. Un constat : « Le crépuscule de l’Italie ». Où est passée l’Italie triomphante des années 1950/1960 ? L’Italie dont la croissance surpassait celle du reste de l’Union européenne ? Celle dont les entreprises privées, comme Fiat, ou publiques, comme ENI, excellaient dans l’automobile, l’aviation, l’énergie ou l’optique ? Alain Faujas tente de dégager une « logique » à ce déclin. Une politique culturelle : « «Maroc, Le Musée en son royaume » Dès le XIVème siècle, le grand historien Ibn Khaldoun prophétisait déjà le poids de la culture dans le « soft power ». Aujourd’hui, la politique de réhabilitation des musées au Maroc s’inscrit dans cette philosophie et cette stratégie initiée par le roi : rendre les musées attrayants et créer une nouvelle dynamique pour le développement. Après avoir donné un nouvel élan aux fêtes populaires, aux Festivals le Roi Mohamed VI a souhaité faire de la culture un levier de développement économique et d’influence.

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