« Le cheval, c’est l’avenir ! » Le manifeste enthousiaste de Jean-Louis Gouraud.

Qui peut encore faire le lien entre l’homme et la nature ? Sûrement pas les robots ! « Le Cheval, c’est l’avenir ! » Dans cet ouvrage très remarqué – éditions Actes Sud-, notre collaborateur Jean-Louis Gouraud démontre que le cheval  n’est pas devenu un animal obsolète comme on aurait tendance à le penser mais qu’il est, au contraire, plus que jamais nécessaire aux hommes !

Collaborateur « historique » de La Revue (il y tient depuis sa création une chronique, « La bride sur le cou ») et conseiller du rédacteur en chef, Béchir Ben Yahmed, Jean-Louis Gouraud est un amateur bien connu d’équitation, de sports équestres et de grandes chevauchées (il a rallié Paris à Moscou à cheval en 75 jours, au cours du printemps 1990).

Dans un petit livre qui vient de paraître, il affirme que, loin d’être un animal démodé, dépassé et devenu inutile, le cheval est au contraire plus que jamais nécessaire aux hommes !

Ce manifeste a été accueilli avec enthousiasme (voir ci-dessous) dans les milieux professionnels, en particulier, qui y ont trouvé des éléments de réponse aux reproches, de plus en plus virulents, que les antispécistes adressent à ceux qui utilisent le cheval pour, disent-ils, « leur seul plaisir ». Non, répond l’auteur, le travail n’est pas nécessairement, pour le cheval, un esclavage : il est, au contraire, nécessaire à son bien-être.

C’est ce que Jean-Louis Gouraud s’évertue à démontrer en cinquante pages. Mais l’essentiel de son propos est ailleurs : s’ils ont été longtemps, l’un gibier, l’autre chasseur, le cheval et l’homme ont noué voici cinq mille ans une sorte de pacte, qui a pour nom la domestication, aux termes duquel l’homme assure au cheval sa protection, en échange de quoi le cheval prête à l’homme sa force et sa vitesse.

Ces avantages étant remplacés par la mécanisation apparue à la fin du XIXe siècle, le cheval n’est-il pas devenu obsolète ? Non, au contraire, répond Jean-Louis Gouraud : « Le cheval, c’est l’avenir. »

Dans le prochain numéro de La Revue, – qui sort à la fin de ce mois- l’écrivain et philosophe Marc Guillaume dira ce que cache ce paradoxe.

QUELQUES RÉACTIONS déjà  : 

« Un petit livre formidable, écrit avec passion et pédagogie. » Wendy Bouchard (Europe 1)

« Pour cet écrivain randonneur, le discours animaliste méconnaît la nature profonde du cheval, qu’il menace de mort au nom de la protection animale. » Catherine Golliau (Le Point)

« Un cri d’alarme. » Mayeul Caire (Jour de Galop).

« Un coup de cœur. » Noëlle Bréham (France Inter)

« C’est salutaire, tonique, bien écrit, bien pensé. Bravo ! »Jean-Pierre Digard (CNRS)

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